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Alain Cocq, militant pour « une fin de vie digne », est décédé
Atteint d’une maladie incurable, le Dijonnais est mort dans un suicide assisté en Suisse. Il avait déjà tenté de cesser ses soins en septembre et en octobre.
Atteint d’une maladie incurable, le Dijonnais est mort dans un suicide assisté en Suisse. Il avait déjà tenté de cesser ses soins en septembre et en octobre.
A retrouver dans l’émission « Répliques », présentée par Alain Finkielkraut sur France Culture, « la question de l’euthanasie et le suicide assisté », en compagnie du professeur Didier Sicard, ancien président du Comité national consultatif d’éthique (CCNE).
A toujours évoquer la dignité quand il s’agit de la mort choisie et anticipée, on finira par ancrer dans l’inconscient collectif que seule cette façon de mourir est respectable, écrit un collectif de médecins et soignants.
Un texte ouvrant le droit à une « assistance médicalisée active à mourir » pour des personnes souffrant d’une maladie incurable était examiné le 08 avril 2021 à l’Assemblée nationale. Le professeur Régis Aubry, spécialiste de l’éthique et de la fin de vie, répondait en direct aux questions des lecteurs du Monde.
A retrouver dans l’émission L’heure bleue, présentée par Laure Adler sur France Inter, un entretien avec Didier Sicard, président du Comité consultatif national d’éthique de 1999 à 2008, au sujet de la proposition de loi n°3755 « visant à affirmer le libre choix de la fin de vie et à assurer un accès universel aux soins palliatifs en France ».
L’auteur de la proposition, le député Olivier Falorni, dénonce une tentative « d’obstruction parlementaire ».
Si des clivages se sont fait sentir, de nombreux orateurs ont toutefois salué un débat «digne» et «respectueux» des opinions de chacun.
Un texte de Pierre Corvol, présenté devant l’Académie des sciences morales et politiques le lundi 22 mars 2021.
La loi a été approuvée, jeudi, à une très large majorité par le Parlement espagnol. Elle permet à un patient atteint de maladie incurable de mettre fin à ses souffrances.
A l’initiative du député radical de gauche Olivier Falorni, l’Assemblée nationale se prononcera sur une proposition de loi pour «une fin de vie libre et choisir». Dans les rangs de la majorité, beaucoup de parlementaires annoncent déjà leur soutien au texte.