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Fin de vie: l’aide à mourir est-elle un progrès social?
À voir dans l’émission Sens public du 12.03.2024, sur Public Sénat, «Fin de vie: l’aide à mourir est-elle un progrès social?».
À voir dans l’émission Sens public du 12.03.2024, sur Public Sénat, «Fin de vie: l’aide à mourir est-elle un progrès social?».
À retrouver dans l’émission C dans l’air du 11 mars 2024, sur France 5, «Aide à mourir, l’heure du choix», avec Christophe Barbier, Marina Carrère d’Encausse, Isabelle De Gaulmyn, et Jérôme Fourquet.
À écouter sur France Inter, dans l’émission Le téléphone sonne du 11 mars 2024, «Fin de vie, fin du débat?», avec Régis Aubry, Marina Carrère d’Encausse, et Marc Decroly.
Les patients concernés se verront prescrire un produit létal à s’administrer seul ou avec assistance, a précisé le président dimanche dans une interview à «Libération» et à «La Croix» (Source: Le Monde).
Alors qu’en France, un projet de loi sur la fin de vie doit être bientôt présenté, sur le continent africain, la question de l’euthanasie reste largement taboue. L’enjeu réside dans le développement des soins palliatifs, insuffisants, voire inexistants dans beaucoup de pays (Source: RFI).
À voir jusqu’au 26 mai 2024 sur France TV, un documentaire de Magali Cotard intitulé «Fin de vie: pour que tu aies le choix».
Alors qu’une future loi sur la fin de vie nourrit de nombreux débats, l’Académie Nationale de Chirurgie a fait part de son avis: elle est favorable à un texte entourant le suicide assisté, mais pas l’euthanasie active par un médecin (Source: Pourquoi Docteur).
Auteur du livre « Le dernier soir », publié le 17 janvier dernier, Thomas Misrachi partage son expérience sur la fin de vie sur RMC. Il souhaite avoir recours à l’euthanasie, « mourir à 75 ans » et raconte la manière dont il a accompagné une amie jusqu’à sa mort (Source: RMC/BFMTV).
Près d’un an après la conclusion de la convention citoyenne sur la fin de vie, le projet de loi légalisant le suicide assisté est toujours au point mort. Les militants pro-euthanasie ne cachent plus leur déception (Source: Journal international de médecine).
Alors qu’en France, les directive anticipées concernant sa fin de vie peuvent être rédigées dès l’âge de 18 ans, aussi bien si l’on est atteint d’une maladie grave qu’en bonne santé , à Monaco, le gouvernement a choisi une autre option dans son projet de loi : cette « déclaration des volontés de fin de vie » ne pourrait être rédigée que par les personnes atteintes d’une « affection grave, irréversible et incurable » et avec l’aide d’un médecin. Explications. (Source: L’Observateur de Monaco)